FICHE PERSONNAGE
Nom & Prénom : Nishimura Mashiro
Âge : 18 ans
Poste Vacant : [ X ]
Origines : Coréen par sa mère, Japonais par son père.
Personnalité sur l'avatar : Choi Dong Wook (se7en)
Famille :Bien qu'il n'en ai pas l'air, Mashiro est très famille. Famille qu'il a d'ailleurs très petite puisqu'elle se résume à sa mère. A sa petite maman coréenne qui compte bien plus pour lui que n'importe qui. Elle lui a apporté toutes les valeurs qu'il a aujourd'hui et sa fierté d'être Coréen, malgré les regards de travers et les insultes. Elle n'est que simple marchande de légumes, mais il n'en est pas moins très fière d'elle et de sa douceur.
Son père, il ne le connaît pas. Mais il est loin d'en faire tout un plat. Il ne l'a vu que quelques rares fois et jamais il n'a prit part à son éducation. Il n'est un père que par l'appellation, et cependant lui en veut d'avoir fait tant souffrir sa mère par son absence.
Il est fils unique, bien qu'il est toujours rêvé d'un frère ou d'une soeur qui saurait le comprendre et qu'il pourrait protéger.
Caractère : Difficile à comprendre, difficile à cerner. Il a longtemps été le genre de garçon silencieux et discret, réservé de nature. Il n'est pas timide, loin de là, disons qu'il n'est pas le genre de personne à se confier à qui que ce soit, Umeko comprise. Quoiqu'elle en pense, il est loin de tout lui dire. Mashiro est très pudique quant il s'agit de ses sentiments, jamais vous ne saurez ce qu'il ressent réellement, puisque assez stoïque et possédant un superbe sang froid, ses gestes même ne le trahiront pas. On dit qu'on peut lire beaucoup de choses dans le regard d'autrui, et dans son cas, ce n'est pas faux. C'est bien la seule façon pour vous de connaître un tant soit peu ses émotions. Très secret donc, ce n'est pas pour autant qu'il perd son temps à écouter ceux qui l'entourent se plaindre. Il peut se montrer compréhensif quand il le veut bien, mais n'est pas du genre attentif aux autres, bien qu'il soit quelqu'un d'assez câlin. C'est d'ailleurs de cette façon qu'il console et qu'il aime être consolé. Peu de personne le trouve clairement "gentil", mais c'est surtout qu'il a pris récemment la mauvaise habitude de laisser transparaître un certain caractère de cochon, qui ne fait pas bon ménage avec son lunatisme. En effet, s'il peut se montrer doux parfois, en quelques secondes il peut devenir le pire des salauds, sans pour autant qu'on en connaisse la raison. Mais Mashiro reste néanmoins un "bon copain", adepte des soirées bien arrosées et des virées chez les filles, grâce auxquelles d'ailleurs il a pu se découvrir un certain goût à la drague...
Qualité : Est capable d'une très grande douceur quand il apprécie réellement quelqu'un.
Défaut : Son côté particulièrement chieur ♥
Tics / Manies : Il n'en a pas franchement, disons qu'il est très pointilleux sur son physique et qu'il à tendance à toujours s'inquiéter de sa coiffure ou autre. Il se passe souvent la main derrière la nuque lorsqu'il est gêné.
Aime / N'aime pas : • Ah... ce qu'il aime. Beaucoup de choses, bien qu'il soit plutôt du genre à ne rien apprécier. Il ne dirai jamais non à un bonbon ou à une pâtisserie. Il adore tout ce qui est sucré et peut passer des heures devant les fourneaux, à faire se suivre gâteaux sur gâteaux. Sa seconde passion est bien bien sûr la danse, qu'il pratique depuis ses 11 ans et qui se joint depuis peu au chant. Il se trouve qu'il a une voix assez jolie... Peu sociable, il est pourtant un grand adepte des câlins et autres douceurs, mais ne se laisse aller à ce petit jeu que lorsqu'il apprécie réellement la personne ou dans d'autres cas, lorsqu'il sait qu'il peut la gêner de cette façon.
• Quant à ce qu'il n'aime pas, pour commencer d'une façon plus terre à terre, on trouve déjà les insectes. De l'affreuse araignée au plus joli pappillon, pour lui, ça ne fait pas de différence. Il n'aime pas qu'on le dérange lorsqu'il décide d'être seul un moment, et supporte de moins en moins qu'on hausse le ton avec lui. Il n'accepte pas qu'on critique ses origines et c'est d'ailleurs le meilleur moyen pour s'en faire un ennemi.
Racontetavie.com :" Non... non, pas maintenant, m... mon mari..."
" Nishimura san, nous l'avons déjà appelé quatre fois, il ne répond pas. Nous allons devoir... "
" Non, je vous en prie... non. "
Mais le médecin secoua la tête et fit un signe discret aux infirmières qui l'entouraient. Le travail avait déjà commencé, et pour le bien de l'enfant autant que pour celui de la mère, il n'était pas bon d'attrendre plus longtemps. Il passa une main sur le front de la femme, qui ne tarderait pas à se couvrir de sueur. Sa respiration était lente, mais elle ne dormait pas. Une larme roula sur sa joue et il détourna le regard en soupirant. Il n'était pas du genre à s'attacher à ses patients, on ne pouvait mieux les soigner qu'en gardant une certaine distance. Mais cette femme était entrée il y a une semaine à présent, et n'avait reçu aucune visite. Pourtant, n'allait-elle pas avoir un enfant ? N'aurait-elle pas du être entourée de sa famille, de son mari ? Mais personne n'était venu déposer de peluches ou de fleurs sur sa table. Les lèvres pincées, il se prépara à l'accouchement, donnant ses instructions aux infirmières qui l'entouraient. Dans son casier attendait un petit ours blanc, un noeud rouge autour du cou.
• • •
Cela faisait deux semaines maintenant, qu'elle observait nuit et jours le berceau dans lequel reposait son bébé. Il y avait eu quelques complications et pour sa sécurité, on avait préféré la garder. Son mari était passé le jour d'avant, en coup de vent. Un baiser sur le front, à peine un regard pour l'enfant, et il s'était envolé. Elle se savait seule. Depuis qu'elle était arrivée au Japon, elle n'avait jamais eu le moindre ami, la moindre connaissance. C'est qu'elle ne parlait pas très bien le japonais, et son mari était tellement absent qu'elle n'osait pas sortir seule. Elle ne voulait pas de cet enfant, ce n'était que du travail et des soucis en plus, mais elle n'aurait jamais eu le courage d'avorter. Pourtant, à présent qu'elle voyait ce petit être, dépendant d'elle seule, elle compris que jamais elle ne regretterait de l'avoir gardé auprès d'elle. Elle se leva difficilement, et s'approcha avec lenteur du berceau. Son regard ne quittait pas l'enfant, et lorsqu'elle effleura sa joue, une larme roula, suivit dune autre & d'une autre encore... Cela faisait si longtemps qu'elle retenait ses pleurs, qu'elle retenait cette tristesse qui étreignait son coeur. Elle était si seule, tellement seule. Mais ce petit garçon, ce petit bout d'homme qui tentait veinement de s'accrocher à son doigt tendu, n'avait besoin que d'elle, et enfin, elle se sentait utile.
" Jin Hyun. Mon petit Jin Hyun..."
C'était le nom de son coeur, le nom secret qu'elle lui avait donné. Celui qui serait inscrit sur les registres était Mashiro. Mais elle le détestait déjà.
• • •
Mais les petits garçons grandissaient toujours trop vite. Alors qu'il entamait sa première année à la maternelle, sa petite maman en ressentait déjà un grand manque. C'est que son Jin Hyun était des plus câlins, et qu'il était tout ce qu'elle avait jamais pu espérer. Peut-être reportait-elle sur lui un peu trop de l'amour qu'elle ne pouvait donner à son mari ou au reste de sa famille. Toutefois, bien qu'ils ne furent pas riches, elle prenait soin de gâter son enfant à outrance. Mais elle était si douce et si gentille, elle racontait si bien les histoires et prenait même le temps, parfois, de le gronder, qu'il ne lui serait jamais venu à l'esprit de devenir un de ces gosses capricieux. Il réclamait rarement quoique ce soit, était de ces enfants dont on ne savait pas s'ils se fichaient de tout ou s'ils étaient incroyablement sages. Ce qu'il était lui. Mashiro était toujours très silencieux, il n'avait pas beaucoup d'amis. En revanche, il s'appliquait devant ses travaux et jamais ne refusait de venir en aide aux autres enfants. A l'école, il emmenait toujours un petit ours blanc avec un noeau rouge, et refusait catégoriquement de s'en séparer.
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Il voyait son père, quelques fois. Il ne le connaissait même pas. Ils avait du se parler trois fois en 8 ans. Lorsqu'il revenait du travail parfois, il était très tard. Et lorsqu'il repartait, il était trop tôt. Mais il était rarement à la maison finalement. Mashiro ne s'en plaignait pas, il savait que sa mère en souffrait et ne tenait pas à la blesser davantage. Sa petite mère, il l'aimait passionément et elle le lui rendait bien. Elle était d'ailleurs la seule. Dès la primaire, son comportement lointain, ses silences, sa réserve avaient attiré les foudre de la plupart des garçons, qui l'accusait de n'être qu'un frimeur, un prétentieux. Il n'avait jamais démenti les rumeurs, qui pourtant lui permettait d'avoir une petite cour d'admiratrice. Mais il s'en fichait bien, il n'aimait pas ces filles qui l'épiait sans cesse en gloussant. Ni ses garçons à qui il avait plus d'une fois du rendre des coups. Les yeux de sa mère lorsqu'il revenait à la maison, les vêtements déchirés et couverts de blessures, lui brisaient à chaque fois le coeur.
• • •
Lorsqu'il entra au collège, les regards mauvais et méprisants s'intensifièrent et se firent plus nombreux. Il entendait des murmures derrière son dos, lorsqu'il passait dans les couloirs. Les voix se taisaient lorsqu'il prénétrait dans sa classe. "gaijin, gaijin, gaijin". Jamais pourtant, il n'haussait la voix. Il restait calme et posé, parlait peu et n'avait aucun ami. Quelques filles lui tournaient autour, sûre de se faire remarquer par l'ensemble de l'établissement si elles étaient vu n compagnie du Coréen, comme on l'appelait plus communément. C'est à cette époque qu'il se prit de passion pour la danse et le chant, qui lui permirent de garder beaucoup de son sang froid, lorsque les insultes se faisaient plus fortes et que les murmurent n'en étaient plus. Il ne rendait jamais les coups, préférant perdre un peu de sa fierté que de blesser sa mère. Par elle, il avait appris à aimer ses origines. Elle lui avait appris le coréen, et lorsqu'ils étaient tous les deux ne parlaient que cette langue. Il savait que ça lui faisait du bien, qu'elle n'avait jamais réussi à aimer ce pays mais qu'elle était loi nd'avoir les moyens de repartir à Séoul, où de toute façon, elle ne pourrait vivre que misérablement. Et puis... en Corée, Jin Hyun ne serait plus le Coréen, mais deviendrait le Japonais. Lui, ne se sentirait chez lui nul part, à part dans sa corps, dans sa danse, son petit ours blanc au noeud rouge veillant inlassablement sur lui.
• • •
" Nishimura kun ? "
Il ne se retourna pas, sachant trop bien ce que lui voulait cette fille dans son dos. Appuyé contre un arbre, il semblait plongé dans son livre et loin de vouloir en sortir. Il sentit un mouvement, et une ombre passa à ses côtés pour venir se placer devant lui. Elle ne parlait pas, et en soupirant, il détacha les yeux de son bouquin. Ce qu'il vit lui glaça le sang. Elle était là, souriante, lui tendant son petit ours blanc. Il fronça soudain les sourcil et lui arracha la peluche des mains, sans le moindre mot, ni le moindre regard. Mais elle ne s'en alla pas, loin de là.
" Je l'ai trouvé près de la grille, et j'ai su qu'elle devait être à toi. Je t'ai vu une fois la sortir de ton sac, pas que je t'espionnait ne t'en fais pas mais... je m'en souviens, parce-que je l'avais trouvé très jolie. "
Il leva les yeux sur elle, une lueure étrange dans le regard. Elle ne faisait pas partie de ces filles ultra-maquillée qui peuplait le collège, et il ne se rappelait même pas l'avoir déjà vu. Elle avait les mains derrière le dos, et le regardait toujours avec un doux sourire. Elle toussota finalement, voyant qu'il n'avait certainement pas l'intention de lui répondre, et alors qu'elle assait près de lui pour s'éloigner, elle trébucha et avec un petit cri, tomba en avant. Lâchant son livre, il lui attrapa vivement le bras, empêchant ainsi une chute douloureuse. Lorsqu'elle pu se redresser, après de longues minutes d'immobilités, elle lui jeta un regard gêné, les joues roses, et elle partit en courant, sans un mot de plus.
• • •
Ses notes n'avaient jamais été excellente. De plus, par son statut de gaijin, il était clair que s'il ne devenait pas plus brillant, jamais il ne pourrait trouver de travail digne de ce nom. Sa passion pour la danse le mena évidemment à Kakuri, "l'internat de la dernière chance". Il savait qu'en l'envoyant là-bas, sa mère se déchairait elle-même le coeur puisqu'elle serait alors séparé du seul être qui lui donnait l'impression d'exister. Mais le bonheur de son Jin Hyun comptait bien plus pour elle que ses propres impressions, aussi ne pleura-t-elle pas lorsqu'elle le laissa un matin devant la grille de l'établissement qui lui enlevait son enfant. Là, Mashiro changea. Il n'était plus aussi silencieux qu'auparavent, tout en restant quelque peu soliaire. Peut-être laissa-t-il apparaître sa véritable personnalité, alors qu'il n'avait plus à regarder dans les yeux peinés de sa mère. Mais c'est aussi là, qu'il dénicha une jeune fille à la naïveté incroyable mais au sourire qui lui pinça le coeur. Il n'en était pas amoureux non, néanmoins s'il la prit dès ce jour pour cible de ses taquineries, c'était qu'elle l'avait tout de même atteint profondément. Elle lui rappelait cette jeune fille qui un jour, lui avait rapporté un petit ours blanc au noeur rouge...
Relation avec les autres : (+)
MAEKO YOSHIDA, sa victime, celle sur qui il a jeter son dévolu.
(+) Il traine parfois avec
JIRO, le courant passe bien entre eux.
(+) Il est le confident de
UMEKO, et vice versa. Tout les deux, se disent (presque) tout !
Chant ou danse ? : Danse
Adresse msn : All_night@hotmail.co.jpUn truc sur ton perso qu'on doit savoir ? : Il possède un tatouage sur l'épaule gauche. A savoir également : il est plus que fier de ses origines coréennes, aussi, évitez toute critique devant lui.
Pseudo : Strawberry Juice
Age : 17 ans
Un truc à dire sur le fow ? : Evidemment, je ne l'aime pas du tout è.é C'est pour ça que j'me suis inscrite, ahaha ~
Fréquence de connexion : 6/ on va dire, bien que je peux être là tous les jours pour le moment.
What Else ? : Maeko, tu t'croyais en paix, heun *.* <33
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Jeu 7 Aoû - 16:01
